Ce n'est pas une question d'idéologie, c'est effectivement une question de solutions alternatives et de choix.
Certains de nos concitoyens, qui veulent éveiller et former leurs enfants à une alimentation de qualité, souhaitent que leur soit proposée dans les cantines, quels que soient le quartier, la ville ou le village, une alimentation qui puisse être également végétarienne. Il est de notre devoir d'accompagner leur volonté d'avoir ce choix, non de l'imposer. Ce qui leur est imposé, aujourd'hui, c'est le contraire.
La loi doit fixer le cadre de cette avancée qui est nécessaire et attendue par nos concitoyens.