Ce que nous demandons ici, c'est la réciprocité. Nous demandons au Gouvernement de tracer une ligne claire : partant du constat que l'agriculture française met à disposition des consommateurs français et mondiaux des produits respectueux de l'environnement et du bien-être animal et qu'elle ne fait pas usage de farines animales pour nourrir ses animaux, nous souhaitons la réciprocité lorsque la France ou l'Europe signe des contrats avec ses partenaires.