Nous avons déposé des amendements visant à défendre une exception agriculturelle et à vous demander un rapport d'évaluation de l'impact d'un accord avec le Mercosur, sur le modèle du très bon rapport de la commission d'évaluation de l'impact du CETA, présidée par Katheline Schubert, qui faisait état des forces et des faiblesses de la France dans le cadre de cet accord.
Je tiens à dénoncer les deux points qui froissent notre logique sociale-démocrate. Le premier est que nous ne saurions être protectionnistes uniquement lorsque cela nous arrange, s'agissant, par exemple, des marchés céréaliers européens. Il faut avoir de la cohérence idéologique. On ne peut pas, au plan philosophique, défendre des politiques d'exportation uniquement par opportunité.