Je me réjouis de la position du ministre, que nous partageons.
On a le sentiment que la mention en cause a été créée à la demande d'une seule entreprise, pour lui permettre d'atteindre les objectifs de l'article 11 concernant la restauration collective. Elle va à l'encontre de la valorisation des produits locaux, bio et du terroir que nous avons tenté de promouvoir dans le cadre de ce texte. Elle pourra s'appliquer, si nous n'y prenons pas garde, à des produits élaborés à partir de productions animales importées.