Je suis surpris que le Gouvernement rouvre ce débat. Nous l'avons déjà eu plusieurs fois dans cet hémicycle et nous connaissons les excès qu'il peut engendrer. Si l'on retient l'exemple, qui a déjà été donné, d'une bande de 300 mètres, il n'y aura plus aucune agriculture périurbaine. Or nous avons intérêt à ce qu'existe une agriculture périurbaine, qu'elle soit en grande culture, en élevage ou en maraîchage, et une telle mesure la supprimerait totalement.