J'entends aussi les arguments des autres, sur tous les bancs. Chacun, dans votre hémicycle, est dépositaire d'une parcelle de cette République que nous aimons tant, les choses sont parfois compliquées dans les territoires et il ne faut pas mettre les préfets en difficulté. Je me souviens des débats qui ont eu lieu au cours du quinquennat précédent. Ils avaient été plutôt houleux.