Il n'y a pas lieu de craindre une mainmise de l'État sur la formation professionnelle. Les régions seront représentées au conseil d'administration de France compétences par un collège spécifique. De plus, l'ensemble du projet de loi vise à mieux associer les partenaires sociaux à la gestion de la formation professionnelle. Les principes du quadripartisme seront bien respectés. J'émets un avis défavorable.