Il vise en effet à supprimer l'article 4. Nous touchons à un sujet important et qui constitue une avancée : le fait de porter à la connaissance du public, en toute transparence et dans de bonnes conditions, des éléments du programme, de façon à ce que les associations de riverains et les citoyens puissent en prendre connaissance et éventuellement y apporter leur contribution. Il n'y a pas de bon projet urbain qui ne soit partagé. Pour qu'il soit partagé, il doit se faire en transparence et celle-ci doit obéir à des règles ; c'est ainsi que l'on pourra l'enrichir. On ne peut pas vivre l'implication citoyenne dans les projets urbains comme un obstacle ou un empêchement de tourner en rond mais au contraire comme un stimulant pour faire des projets de qualité.