Afin d'éviter toute confusion, monsieur Acquaviva, je ne nie pas l'existence d'un problème : les choses doivent être claires. Je ne dis pas que nous sommes opposés à l'idée de rechercher ensemble des solutions pour faire avancer les choses de manière positive. Le Gouvernement considère néanmoins, ce qui est aussi son droit, que votre solution ne lui paraît pas la bonne. Mais, si vous le voulez bien, je suis prêt à vous rencontrer et à discuter de ces problèmes pour chercher des solutions consensuelles. Il n'est pas certain que nous y arriverons, mais nous pouvons au moins essayer.