Pardon. Il ne s'agit pas ici de faire se retourner André Malraux dans sa tombe…
Nous parlons de deux priorités stratégiques : la lutte contre l'habitat insalubre, qui a fait l'objet d'un consensus durant les discussions en commission, et l'accès de tous au numérique, de façon à résorber la fracture territoriale et à donner accès à l'emploi, à l'entrepreneuriat, à l'éducation à des gens qui aujourd'hui en sont privés.
Pour ces deux cas particuliers, les avis des architectes des Bâtiments de France – que nous respectons au plus haut point – seront consultatifs ; ils ne prendront plus la décision. Ceux qui devront prendre leurs responsabilités, ce sont les élus, les maires, dont c'est effectivement le boulot : faire des choix politiques.