J'aurai le même avis sur le fond. Je dois vous faire une confidence : si le ministre Mézard vous a appris beaucoup de choses, il m'a toujours dit : « Quand tu as lâché un truc au parlementaire, il va toujours t'en redemander un deuxième : et là, il ne faut surtout pas le lui donner ! » Je serai donc, sur le fond et grâce à l'expérience acquise auprès de Jacques Mézard, dans l'obligation d'émettre un avis défavorable.