Le seuil de dosimétrie annuel à ne pas dépasser est de 20 millisieverts. En 2017, nous avons eu à connaître un incident dans le secteur médical, non dans le secteur nucléaire. Voilà des années, et tant mieux, que nous ne dépassons plus ce seuil dosimétrique fixé pour les catégories A et B.
Cela dit, même si les salariés n'ingèrent qu'un millisievert, qu'est-ce qui garantit qu'une personne de catégorie B ne connaîtra pas, dans le futur, de problèmes liés à cette ingestion ?