La conférence des doyens estime que le taux de sédentarisation est de 65 % par rapport au lieu de formation, mais les doyens des facultés de médecine n'ont pas fixé les mêmes règles partout. Il y a des endroits où on peut refuser un premier choix et le redéposer l'année suivante, ce qui n'est pas le cas sur l'ensemble du territoire. Si les règles ne sont pas harmonisées, on risque de se retrouver, comme dans une région qui m'est chère, avec des postes d'internes de médecine générale qui ne sont pas pourvus.