Chaque situation est différente. Je ne suis peut-être pas le mieux à même pour vous répondre. Ce serait plutôt au ministère de le faire. En tout cas, c'est à partir de ces situations locales que peut émerger une situation globale. On doit à la fois penser globalement et agir localement. C'est la seule réponse que je peux vous faire.
Il est clair que notre centre hospitalier s'appuie au maximum sur les professionnels libéraux – masseurs-kinésithérapeutes, orthophonistes, ergothérapeutes – pour faire fonctionner les services.
Je veux rebondir sur la question des directions autonomes. Nous partageons totalement votre vision, madame Biémouret.