Aujourd'hui, la vente étant soumise à l'accord du préfet, la loi nous permet, à Jacques Mézard et à moi-même – et plus généralement à l'État, y compris aux préfets – de définir quelles sont les communes carencées et de nous opposer à telle ou telle opération.
Ensuite, il nous appartient de mettre en oeuvre ou non cette politique sur le terrain. Est-on obligé de l'écrire dans la loi pour ce faire ?