Vous dites, monsieur le secrétaire d'État, que nous ne pouvons pas vous accuser de négligence dans vos réponses. Or je vous accuse bien de cela, car, pour l'examen d'un certain nombre de projets de loi – celui sur l'agriculture et l'alimentation la semaine dernière, ELAN cette semaine, celui sur la formation professionnelle la semaine prochaine – , vous nous obligez à siéger du lundi au dimanche, de neuf heures trente à une heure du matin.