Si vous avez le droit de formuler des critiques, nous avons aussi celui de dire que nous ne sommes pas d'accord. C'est ce que je fais courtoisement.
Quoi qu'il en soit, les objectifs du Gouvernement sont clairs. J'entends, monsieur Pupponi, que si nous réussissons, vous nous en féliciterez publiquement, à l'Assemblée et au delà. J'en prends acte. Et si nous échouons, nous l'assumerons en disant qu'une fois de plus, François Pupponi avait raison !