C'est le groupe socialiste, et la majorité de l'époque, qui ont imposé au gouvernement cette disposition aujourd'hui défendue par l'actuelle majorité comme une solution sage. Nous avons donc eu raison. Vous ne trouverez absolument personne ici, je n'en doute pas une seule seconde, pour vous dire que Philippe Bies, que nous avons côtoyé durant cinq ans, agissait par intérêt local.