Les exemples donnés, que ce soit par M. Pupponi ou par des députés du groupe Les Républicains, reflètent un problème bien réel : c'est celui de la personne qui revient de vacances et qui trouve son logement occupé. Elle doit montrer qu'il a été occupé moins de quarante-huit heures pour espérer une intervention de la police, sans quoi elle doit, M. Pupponi a raison, se débrouiller par ses propres moyens.
Mais, chers collègues du groupe Les Républicains, je suis tenté de vous retourner ce que vous nous avez demandé hier, et que le Gouvernement a fini par accepter, s'agissant de la priorité accordée aux victimes de viol et d'agression sexuelle pour l'accès à un logement social. Vous nous avez dit que notre amendement n'était pas très bien écrit et qu'il fallait y retravailler au cours de la navette parlementaire, afin d'apporter la bonne réponse.
Là où vos amendements me posent problème, c'est qu'ils mélangent tout !