On se contente de dire que les téléphones sont là, et donc qu'il faut les autoriser, ce qui me semble être une piètre justification. À titre d'exemple, l'interdit marche bien dans le privé, à ma connaissance.
Ensuite, qu'entend-on par « usages pédagogiques » ? S'il s'agit de pouvoir utiliser dorénavant les téléphones dans les cours de français ou d'histoire, nous manquons clairement d'informations sur les bénéfices du numérique à l'école.
Monsieur le ministre, avec le soutien de l'État, tous les départements viennent d'investir des millions d'euros dans les tablettes numériques : à quoi servent-elles donc, si vous voulez utiliser le téléphone ?