Monsieur Reiss, monsieur Castellani, je serai bref, car j'ai déjà développé mes arguments sur les questions que vous avez soulevées. Vos propos montrent que nous avons une divergence de fond. Vous avez conclu l'un et l'autre qu'il faut laisser l'initiative aux acteurs de terrain sur ces questions. Dans certains cas, c'est en effet une conduite pertinente, mais en ce qui concerne ce problème, une interdiction nationale nous semble plus appropriée.
Je le répète, l'interdiction ne sera pas de pure forme. Nous voulons une interdiction effective du téléphone portable : il y a là une vraie différence d'approche entre nous. C'est la leçon que nous pouvons tirer de nos débats.
Le Gouvernement est évidemment défavorable à ces amendements de suppression.