À votre arrivée rue de Valois, madame la ministre, vous déclariez dans le journal Le Parisien que « le ministère de la culture n'est pas un organisme de contrôle » et, un an après, vous en êtes là, sur ce banc, avec cette petite loi mal ficelée, mal préparée, mal pensée, mal rédigée. Vous êtes devenue une sorte de speakerine de la bien-pensance. Voilà où vous en êtes, un an après !