L'ARS pour sa part finance des ingénieurs de projet. Ce sont de nouveaux métiers, du niveau du master, qu'il faut valoriser.
Pour les soins non programmés, centres de santé et maisons de santé se sont organisés pour proposer des consultations sans rendez-vous. Le mouvement a commencé depuis cinq ou six ans et c'est aujourd'hui une démarche normale.
La Fédération nationale des centres de santé constate que l'attitude des différentes ARS est très variable. Souvent elles voient les centres de santé comme la roue de secours quand tout le reste a échoué. Nous préférerions une vision politique plus large. L'ARS d'Ile-de-France, par exemple, a une attitude très volontariste.