Les propos de la rapporteure sont frappés au coin du bon sens. On sait à quel point la formation professionnelle fonctionne en silo et souffre d'un déficit criant de visibilité. Certains regrettaient encore, hier, que l'ancien CPF, qui était un outil extraordinaire, ait pourtant été si mal connu. La réalité, c'est que, si une minorité de salariés savent ce qu'ils veulent et parviennent à s'orienter, ce n'est pas le cas de la grande majorité d'entre eux. Nous voterons donc cet amendement.