Tout le monde aura intérêt à être bienveillant vis-à-vis du jeune qui démarre en apprentissage, y compris le CFA. Si le contrat est rompu, cela pourra en effet avoir un impact sur des statistiques ou des indicateurs, qui montreront que le centre en question n'a pas bien accompagné le jeune dans le monde de l'entreprise et du travail. De la même façon, si l'entreprise n'accueille pas l'apprenti avec soin et ne lui permet pas de s'adapter correctement, elle aura perdu son temps.
J'ai visité une maison familiale rurale, qui demande précisément aux entreprises de ne pas imposer tout de suite un volume horaire important aux jeunes, notamment dans le secteur de la restauration, pour leur permettre de s'adapter progressivement au monde du travail. Je pense qu'on peut faire confiance aux personnes concernées pour faire preuve de bienveillance.
Ces amendements sont rejetés.