C'est l'amendement miroir dont je parlais à l'instant, qui vise à instituer un référent attaché aux questions de harcèlement sexuel désigné parmi les membres du comité social et économique de l'entreprise.
Cet interlocuteur sera également formé et identifié ; il permettra aux intéressés de disposer aussi d'un référent du côté des représentants des personnels, car un salarié préférera peut-être s'adresser plutôt à un responsable du service des ressources humaines, ou plutôt à une organisation syndicale ou un élu du personnel : dès lors que la personne est formée et la victime écoutée, ce sera toujours la bonne entrée.