J'ai entendu votre réponse et en ai pris bonne note, monsieur le secrétaire d'État. Permettez-moi d'ajouter quelques mots, dans les circonstances que je traverse aujourd'hui : dans les prochaines réformes que vous mènerez, n'oubliez pas qu'ils étaient ce que nous sommes aujourd'hui, et qu'ils sont ce que nous serons demain. N'ajoutez pas à la douleur de voir partir peu à peu ceux que l'on aime la triste réalité financière qui est à supporter par ceux qui restent.