Je vous remercie pour votre exposé. Vous avez souligné tout à l'heure la dimension culturelle de la reconnaissance d'un certain nombre de maladies professionnelles. J'ai le sentiment que la plus ou moins grande facilité de la reconnaissance est aussi la conséquence des combats qui ont été menés par les salariés malades pour se faire indemniser. Sans doute ces combats n'ont-ils pas été les mêmes selon les pays mais cela ne veut pas forcément dire – vous l'avez souligné à votre façon – que ces maladies existent ou n'existent pas selon le côté du Rhin duquel on se situe.
Dans le domaine de l'industrie, auquel s'intéresse spécifiquement notre commission, des particularités vous sont-elles apparues dans le cadre des travaux que vous avez effectués ?