Concernant votre dernière question, monsieur le président, nous constatons que de nouvelles exigences de polyvalence se voient partout. Les individus sont aujourd'hui producteurs de données. Constatez-vous ce même phénomène chez les salariés, avec une augmentation de la charge mentale ? La polyvalence ne vient-elle pas toucher aux limites d'une certaine capacité humaine de travail, limites que les organisations en place semblent ignorer ?