En effet, même si le bateau croise dans les eaux internationales, cette convention prévoit – c'est la règle – que les autorités de Rome devraient être amenées à déterminer quel port est le plus proche et le plus sûr.
Le troisième principe est le pragmatisme. Les autorités espagnoles ont estimé que le port de Valence était le plus sûr et le plus proche. J'ai regardé les cartes : il est en effet possible de le rallier à partir du sud de la Sicile. Nous avons donc appuyé les autorités espagnoles : il y a un port d'accueil possible.