Le CPF a trois ans, et déjà 5,5 millions de titulaires : il me semble que c'est déjà plutôt un succès – je souhaite que beaucoup de dispositifs aient le même succès.
Vous n'avez pas répondu sur la réalité objective selon laquelle la conversion en euros, c'est moins de droits – la démonstration de M. Dharréville était extrêmement précise.
Vous jouez en permanence la liberté contre l'égalité ; c'est un problème. Pour vous, chacun est maître de son destin, et chacun aura in fine la liberté d'être au chômage, puisqu'il disposera de tous les outils pour trouver un emploi. C'est une duperie, une tromperie.
Il faut une formation de qualité ; il faut du conseil et de l'accompagnement. Or ce sont là les parents pauvres de la réforme.