Contrairement à la revalorisation promise par le Gouvernement – que nous jugeons en trompe-l'oeil, je le répète – par le biais de la monétarisation, cet amendement prévoit une véritable revalorisation des droits, l'alimentation du compte passant de 24 à 35 heures annuelles, dans la limite d'un plafond porté de 150 à 400 heures.
Le dispositif du Gouvernement propose en réalité une formation dégradée quand nous souhaitons la valoriser, pour ne pas se moquer du monde. C'est pour nous une question de principe.