Tout le monde le reconnaît, cela ne marche pas ! Ma présidente de région me le confirme : cela ne fonctionne pas – mais elle ajoute immédiatement qu'il ne faut rien changer, qu'il faut continuer comme cela. Eh bien, je trouve bon que nous redonnions priorité à la personne, à ses aspirations, à sa volonté d'effectuer un parcours professionnel et de se former, avant le remplissage de places ouvertes, mais qu'elle n'a pas souhaité occuper.