Je vous rejoins, madame la députée, sur le fort enjeu que constitue la formation des détenus. Je rappelle néanmoins que la loi du 5 mars 2014 a confié cette compétence aux régions, en l'assortissant de financements. La priorité me semble donc aller à une remontée d'informations par la Chancellerie sur les différents programmes régionaux, avec, le cas échéant, l'idée de légiférer à nouveau. Avis défavorable.