Un simple point : il est assez dommageable que la philosophie générale de ce texte repose une nouvelle fois sur un éloignement des prises de décisions du terrain. La volonté de recentralisation est patente, et elle apparaît en d'autres endroits. Ce n'est pas bon car cela conduit à la mise en place de modèles bureaucratiques, comme c'est le cas avec France compétences.
De surcroît, c'est un vrai paradoxe et une incohérence que de confier l'orientation aux régions sans leur conférer la plénitude des leviers d'actions.
Une fois encore : illisibilité et incohérence de ce projet.