Outre la concertation, j'ai visité une vingtaine de CFA depuis le début de l'année pour vérifier les hypothèses. Nous avons mis en place des groupes de travail avec les centres, des praticiens, des branches, des entreprises et des jeunes. Donc, là aussi, n'instruisons pas de procès sur la méthode, mais discutons des solutions.
Pourquoi ai-je parlé d'une révolution copernicienne ? Pour éviter qu'on croie que la solution réside dans la défense des intérêts des institutions qui ont une responsabilité aujourd'hui, au lieu de promouvoir la mobilisation de tous, chacun dans son rôle. Ce qui importe dans cette réforme, ce sont le jeune, l'entreprise et le CFA.