Lisons le texte que Mme la rapporteure propose d'ajouter. « À leur demande » – la demande d'un gamin de quatrième. Soit. « Sous réserve de l'accord du chef d'établissement ». Quand on sait comment les chefs d'établissement accueillent les demandes de stages en général, et qu'il a fallu passer par les CCI pour mettre en place des mini-stages, parce qu'ils posent un problème de responsabilité et d'assurance que les chefs d'établissement ne peuvent et ne veulent pas prendre… « Une durée maximale d'une journée par an, sur leur temps scolaire ». Mais enfin, cela ne rime à rien ! C'est absurde ! Dans le système actuel, les conditions ne pourront jamais être réunies. Et quand bien même elles le seraient, quel serait l'intérêt pour un gamin d'entrer dans une entreprise pour une journée qu'on passera à lui expliquer les consignes de sécurité ? C'est impensable ! Cela montre bien que certains n'ont jamais mis les pieds dans une entreprise.