À titre personnel, je soutiens cet amendement.
Malgré la mauvaise image dont peut souffrir le sport professionnel, en particulier le football, à cause du montant de certains salaires et transferts, la formation à la française demeure une exception culturelle en Europe. Notre capacité à former des jeunes joueurs est un point positif qui nous distingue des autres pays. La compétitivité du football national – l'équipe de France joue demain ! – repose sur notre jeunesse et sa formation.
L'amendement permet d'accroître cette compétitivité. Dans le football, notre pays est lésé par rapport à d'autres pays européens qui disposent de moyens financiers supérieurs. Notre seule arme, c'est notre formation professionnelle, dispensée dans les centres visés par l'amendement.