J'entends votre attente, madame Sage. C'est l'un des sujets que nous aborderons dans le groupe de travail ad hoc. Il y a des incidences financières à simuler, par exemple. Nous sommes tous d'accord pour dire que telle ou telle formation ne peut être cantonnée à l'un des outre-mer, mais qu'elle doit pouvoir être suivie dans plusieurs espaces. Nous avons déjà abordé cette question avec le contrat de professionnalisation qui pourra, à titre expérimental, être exécuté à l'étranger. Nous savons que, s'agissant de la formation et de la montée en qualification, il est impossible d'avoir toutes les réponses sur tous les métiers dans un seul territoire d'outre-mer. Il faut donc instaurer des mobilités. Nous aborderons toutes ces questions dans le groupe de travail. Mon avis défavorable ne voulait pas fermer la porte. Simplement, face à toutes les questions qui se posent, il faut prendre le temps d'approfondir chacun des sujets.