Monsieur le député, vous évoquez l'annulation de 850 millions d'euros de crédits par le décret d'avance publié au mois de juillet. Le ministère des armées gère chaque crédit dont il dispose ligne budgétaire par ligne budgétaire, en fonction de ses objectifs stratégiques et des moyens de défense nécessaires à notre pays pour faire face tant à la menace terroriste qu'aux nécessités découlant des interventions extérieures.
Vous évoquez un gel de crédits de 850 millions d'euros de la mission « Défense ».