Si, je l'ai dit, je partage une grande partie de l'état des lieux brossé dans ce texte, je suis plus circonspecte sur la remise en question de l'article 40. Je ne crois pas qu'on puisse – à moins de faire preuve de beaucoup de démagogie et, quand on siège dans l'opposition, la tentation est grande – ajouter sans cesse des dépenses sans jamais se soucier d'équilibre financier et donc de recettes.
Une dernière remarque, concernant cette fois Emmanuel Macron.