Lui qui avait promis de renforcer la démocratie et ses institutions n'a pas tenu parole. Comme ses prédécesseurs, il a continué de faire de l'Élysée le coeur et de Matignon les poumons de notre pays, et de maintenir le Parlement au rang de simple figurant.
J'ai encore à l'esprit – et ce n'est pas anecdotique – la loi sur la moralisation de la vie publique de l'été dernier qui nous a privés de notre petit, de notre maigre pouvoir d'aider nos territoires par des subventions, aux associations notamment.