Je rappelle que ces fichiers constituent une question importante, puisque 24 000 personnes sont à l'heure actuelle inscrites au fichier S, tandis que 18 000 le sont au FSPRT. Il s'agit donc de fichiers extrêmement volumineux. Il faudra que nous puissions les cribler afin de prendre des mesures proportionnées à la suspicion que nourrissent les services. En fonction de chaque situation, nous pourrons prendre telle ou telle décision. Nous aurons l'occasion d'en reparler.