Vous feriez mieux de vous inquiéter de savoir s'ils n'ont pas eu à vivre de telles situations. Il est trop facile de brandir des épouvantails.
Mme la ministre s'est appliquée à ne pas ouvrir de débat sur l'existence de deux camps, celui des fous du volant irresponsables et celui des sages qui seraient obligés d'imposer des règles car nous serions incapables d'entendre leurs arguments. Je vois que M. Houbron a fait le choix de céder à la facilité, ce qui n'est pas à son honneur.