À l'époque, quand ce décret a été publié, on n'a pas prétendu que la ville était sacrifiée par rapport à la campagne, où l'on pouvait rouler plus vite. Or vous dites aujourd'hui que nous faisons l'inverse et vous avez tort, selon moi, d'en faire un problème opposant la ville et la campagne, car c'est un problème de sécurité routière.