Monsieur Dufrègne, j'entends ce que vous dites et je reconnais qu'il y a des routes telles que vous les avez décrites dans votre département de l'Allier, que je connais bien car j'y passe souvent. Néanmoins, je voudrais que vous admettiez – vous avez d'ailleurs dit vous-même que cela faisait quarante ans que vous attendiez – que ce gouvernement ne peut pas être responsable à lui seul de l'état des routes dans l'Allier.