Monsieur Bernalicis, même si nous instaurions un débat annuel sanctuarisé, tous les députés ne pourraient être présents dans l'hémicycle, tant l'ampleur de leurs tâches est grande.
Chez moi, on dit toujours « Parole d'un honnête homme vaut un écrit » et j'aurai tendance à faire confiance au ministre.
J'aurais simplement aimé avoir davantage de précisions sur le Conseil de la réforme. Quand sera-t-il constitué ? Quelle sera sa composition ?