Nous sommes tous d'accord sur la philosophie. La méthode proposée par le rapporteur est bonne et je soutiendrai le Conseil de la réforme. Si l'Assemblée souhaite se l'approprier en lui donnant la forme d'une mission d'information, j'y serai favorable aussi, bien évidemment. Si elle ne le fait pas, nous pourrons l'institutionnaliser d'une autre manière. Je m'y engage bien volontiers.
Monsieur Bernalicis, je rappelle que le taux de réponse de mon ministère aux questions écrites est de 82 %. Évitons les procès d'intention.