Dans le cadre de la remise en ordre politique du Mali prévue par les accords d'Alger, il était prévu d'établir un grand nombre de structures très locales, en particulier des comités locaux et d'aller vers une plus grande régionalisation. Deux ans après la signature de l'accord, ces structures, qui pourraient être un outil extrêmement important de réappropriation, sont-elles mises en place, suivies et contrôlées par des instances internationales ?