Le scénario devant nous n'est pas blanc. Nous avons un plan d'action, celui que j'ai décrit tout à l'heure avec quatre voies d'action.
La question du réchauffement est certes importante et la population du Sahel, notamment touareg, est clairement affectée par ce problème.
Aller au-delà des instruments que nous avons développés est cependant difficile.
Concernant un processus d'évaluation, ce texte a été signé le 13 juillet. Il doit y avoir une coresponsabilité, et celle-ci vient du fait que les pays destinataires mettent sur la table leurs propres biens. Je reviens donc à l'importance de l'appropriation. C'est à eux de nous dire quels sont leurs besoins.
Pour les instruments d'évaluation et leur fonctionnement, les choses sont encore récentes. Nous avons ainsi eu un débat sur les moyens de faire fonctionner l'assemblée pour le Sahel.